Cela faisait un moment qu’Hao n’avait pas eut de nouvelle d’Hōshō. Depuis la fin de la guerre, le groupe semblait comme désincarné. Il faut dire qu’avec le décès de son chef et l’inexplicable absence de son successeur le mouvement ne pouvait que dépérir un peut plus chaque jour. Qu’avait fait Hao pour empêcher ça, pas grand-chose. Se sentait-il fautif, légèrement, mais il avait dû faire un choix. Rester auprès de ce qu’il restait du noyau dur de la faction ou retrouver Son amie de toujours ? Les kaidō étaient certes de son sang, mais ils ne l’avaient pas élevé, de plus le premier concerné avait choisit l’exode au combat, pourquoi lui l’aurait il fait ? Enfin tout ceci n’était qu’une façade, destiné à berner l’ennemi certainement. Le mouvement, bien qu’endormis était plus fort que jamais. Le décès de sa fondatrice n’avait fait qu'exacerber la force morale de ses partisans, de ses héros ainsi que de ses légendes. En parlant de légende, Hao se demandait, alors qu’il déambulait dans les rues de la sombre banque des voleurs, ce que cet homme qu’il avait rarement entre aperçu pouvait penser. Comment voyait-il le monde, la guerre avait certainement du laisser son emprunte sur lui. En même temps, elle l’avait posé sur la totalité du Yukan. Un jour, peut-être, pourra-t-il échanger avec lui, de shinobi à shinobi, de kaido à kaido, d’homme à homme peut être même d’égal à égal.
C’est donc l’esprit occupé à divaguer sur des théoriques conversations avec des gens qui ne connaisse même pas son nom qu’un individu le bouscula. Se retournant pour faire face à l’individu Hao sentit un frisson parcourir sa colonne. Le kaido se retrouva à l’endroit sur le flan d’une montagne. Il connaissait cet endroit, c’était le lieu ou il était arrivé, une dizaine d’années plus tôt, après son départ de la vallée des varans. Une mystérieuse voix résonna dans sa tête.
« Le pays des montagnes, cette terre aride et impitoyable, autrefois ennemis de notre ordre... »
Le shinobi avait maintenant la sensation de voir aux travers des yeux d’un rapace. Le paysage défila sous ses yeux lui faisant perdre toute notion de distance. La voix s’intensifiait alors que le shinobi se concentrait sur les informations visuel qu’il avait à traiter. Soudain, une image se fixa, de la roche, une cavité, du bois, taillé, travaillé par l’homme, des pylône, une entrée. L’oiseau effectua un arc de cercle. Hao aperçut une montagne aux formes singulière, on aurait dit une tête d’ours hurlant de colère.
« La mine, trouve la mine et purifie la. L’ordre te récompensera... »
L’oiseau prit alors de l’altitude, montant jusqu’aux nuages il se perdit dans leurs voluptés. L'air semblait se raréfier et Hao avait de plus en plus de mal à respirer. Puis le volatil plongea d’un coup, la voix se mêla au cris du rapace, Hao eut la sensation très désagréable que sa tête allait exploser.
« N’oublie pas, un enfant seul ne peux que se perdre, le vert te portera bonheur... »
L’oiseau continuait de plonger vers le sol, plus la terre se rapprochait plus Hao pouvait y distinguer une silhouette. Il n’eut pas beaucoup de temps pour observer l’individu, cheveux verts court, l’homme était fin et possédait deux, non trois sabres. Quand il arriva à sa hauteur, il eut la sensation de se faire couper en deux. Fermant les yeux par réflexe quand il les rouvrit, il vit l’homme qui venait de le bousculer disparaître dans la foule. Hao esquissa un sourire, cela faisait longtemps qu’on ne lui avait pas confié une mission. Ne pas laisser de trace, l’ordre inventait toujours des moyens détourné pour se faire passer des messages mais de là à user de genjutsu. Bien c’est ainsi qu’il se mit en quête de l’homme aux cheveux vert, si l’ordre lui avait suggéré un partenaire spécifique c’est que l’homme devait devoir le détour, de plus il devait certainement se trouver tout proche.
C’est donc l’esprit occupé à divaguer sur des théoriques conversations avec des gens qui ne connaisse même pas son nom qu’un individu le bouscula. Se retournant pour faire face à l’individu Hao sentit un frisson parcourir sa colonne. Le kaido se retrouva à l’endroit sur le flan d’une montagne. Il connaissait cet endroit, c’était le lieu ou il était arrivé, une dizaine d’années plus tôt, après son départ de la vallée des varans. Une mystérieuse voix résonna dans sa tête.
« Le pays des montagnes, cette terre aride et impitoyable, autrefois ennemis de notre ordre... »
Le shinobi avait maintenant la sensation de voir aux travers des yeux d’un rapace. Le paysage défila sous ses yeux lui faisant perdre toute notion de distance. La voix s’intensifiait alors que le shinobi se concentrait sur les informations visuel qu’il avait à traiter. Soudain, une image se fixa, de la roche, une cavité, du bois, taillé, travaillé par l’homme, des pylône, une entrée. L’oiseau effectua un arc de cercle. Hao aperçut une montagne aux formes singulière, on aurait dit une tête d’ours hurlant de colère.
« La mine, trouve la mine et purifie la. L’ordre te récompensera... »
L’oiseau prit alors de l’altitude, montant jusqu’aux nuages il se perdit dans leurs voluptés. L'air semblait se raréfier et Hao avait de plus en plus de mal à respirer. Puis le volatil plongea d’un coup, la voix se mêla au cris du rapace, Hao eut la sensation très désagréable que sa tête allait exploser.
« N’oublie pas, un enfant seul ne peux que se perdre, le vert te portera bonheur... »
L’oiseau continuait de plonger vers le sol, plus la terre se rapprochait plus Hao pouvait y distinguer une silhouette. Il n’eut pas beaucoup de temps pour observer l’individu, cheveux verts court, l’homme était fin et possédait deux, non trois sabres. Quand il arriva à sa hauteur, il eut la sensation de se faire couper en deux. Fermant les yeux par réflexe quand il les rouvrit, il vit l’homme qui venait de le bousculer disparaître dans la foule. Hao esquissa un sourire, cela faisait longtemps qu’on ne lui avait pas confié une mission. Ne pas laisser de trace, l’ordre inventait toujours des moyens détourné pour se faire passer des messages mais de là à user de genjutsu. Bien c’est ainsi qu’il se mit en quête de l’homme aux cheveux vert, si l’ordre lui avait suggéré un partenaire spécifique c’est que l’homme devait devoir le détour, de plus il devait certainement se trouver tout proche.