Année 84 Pays des canyons
Voilà une bonne semaine qu’Hao, accompagné de Massako, avaient quitté le QG de l’homonculus. Leur repos avait été de courte durée, quelques heures à peine, la guerre avait l’incroyable effet de faire fleurir leurs affaires. Le chef les faisait tourner à plein régime, ils devaient certainement s’estimer heureux d’avoir pu se poser cette fois-ci. Non pas qu’il fut spécialement vénal, non loin de la, mais l’individu était prévoyant. Conscient que la guerre ne serait pas éternel, il espérait constituer un fond suffisant pour que son organisation puisse survivre sans être forcé de tomber dans le commerce d’êtres humains ou le meurtre. Hao et sa camarade étaient conscient de cet objectif, plus que cela il y était favorable, c’est pourquoi il ne rechignaient pas à la tache. Enchaînant les destinations aussi exotiques que périlleuse, ils vivaient constamment en mouvement. Étant les convoyeurs de l’organisation, ils faisaient partit des rares membres à côtoyer régulièrement tout les autres. Bien qu’ils ne s’entendaient pas forcément bien avec tous ils étaient globalement appréciés par leur collège. La raison était simpliste, leur venue signifiait que le facteur risque de leur collègue allait chuter fortement à leur séparation. Comment ne pas apprécier quelqu’un qui viens vous débarrasser d’un bien qui, si l’on vous trouve avec, pourrait vous tuer ou pire vous faire enfermer pour un bon bout de temps ?
Hao et Massako étaient donc parvenus jusque sur les terres du pays des canyons. Leurs progressions avait ralentis depuis leur approche de la zone de front. Il fallut tout d'abord esquiver plusieurs bataillons de kazan, puis se faufiler à travers la zone de conflit pour ensuite jouer à cache-cache avec l’armée de Taki, et c’était sans compter sur la présence de quelques groupes de pillard de bas étage qui auraient pu les surprendre. Toute cette pression avait ralenti te transit d’Hao qui marchait depuis plus d’une heure en se massant discrètement le ventre. Massako connaissait bien le jeune homme, elle avait remarqué que son attitude changeait systématiquement lorsqu’ils s’approchaient du front. Était-ce de la peur ? Au fonds, la jeune femme s’en moquait, elle trouvait mignon le fait que le jeune homme tente de lui cacher son état. C’est alors que son ventre émit un gargouillis gargantuesque. Il était temps pour le shinobi d’être délivré. Intiment sa partenaire de faire une pause, il partit à l’écart « rendre à la nature la monnaie de sa pièce » dit il.
Le jeune homme trouva un petit coin de paradis. Il y avait un petit arbre, pas plus de deux mètres, un petit renfoncement de terre avait retenu l’eau de pluie tombée plus tôt dans la matinée. Un rocher un peut plus large que les autres venaient lui offrir une couverture visuelle. Face à lui, se trouvait une faille qui comportait trois grosses cascades, celle-ci étaiement un grondement constant, parfait pour couvrir ses bruits. Dans un état de béatitude, le jeune homme baissa son pantalon et adopta la légendaire posture de la pause caca. C’est à ce moment, alors qu’il était en train de pousser, que l’homme tourna la tête. Pourquoi ? Il ne saurait pas dire une intuition certainement. Toujours est-il qu’il se retrouva nez à nez avec une jeune femme, il était trop tard pour lui de faire marche arrière. Le méfait était lancé impossible de l’arréter . Le jeune homme n’eut d’autre réaction que de pousser un cri horrifié. Bien sûr, celui-ci alerta Massako qui accourra sans plus tarder. Et c’est ainsi que le Shinobi se retrouva dans ce qui restera pour lui l’une des situations les plus malaisante de sa vie...
Voilà une bonne semaine qu’Hao, accompagné de Massako, avaient quitté le QG de l’homonculus. Leur repos avait été de courte durée, quelques heures à peine, la guerre avait l’incroyable effet de faire fleurir leurs affaires. Le chef les faisait tourner à plein régime, ils devaient certainement s’estimer heureux d’avoir pu se poser cette fois-ci. Non pas qu’il fut spécialement vénal, non loin de la, mais l’individu était prévoyant. Conscient que la guerre ne serait pas éternel, il espérait constituer un fond suffisant pour que son organisation puisse survivre sans être forcé de tomber dans le commerce d’êtres humains ou le meurtre. Hao et sa camarade étaient conscient de cet objectif, plus que cela il y était favorable, c’est pourquoi il ne rechignaient pas à la tache. Enchaînant les destinations aussi exotiques que périlleuse, ils vivaient constamment en mouvement. Étant les convoyeurs de l’organisation, ils faisaient partit des rares membres à côtoyer régulièrement tout les autres. Bien qu’ils ne s’entendaient pas forcément bien avec tous ils étaient globalement appréciés par leur collège. La raison était simpliste, leur venue signifiait que le facteur risque de leur collègue allait chuter fortement à leur séparation. Comment ne pas apprécier quelqu’un qui viens vous débarrasser d’un bien qui, si l’on vous trouve avec, pourrait vous tuer ou pire vous faire enfermer pour un bon bout de temps ?
Hao et Massako étaient donc parvenus jusque sur les terres du pays des canyons. Leurs progressions avait ralentis depuis leur approche de la zone de front. Il fallut tout d'abord esquiver plusieurs bataillons de kazan, puis se faufiler à travers la zone de conflit pour ensuite jouer à cache-cache avec l’armée de Taki, et c’était sans compter sur la présence de quelques groupes de pillard de bas étage qui auraient pu les surprendre. Toute cette pression avait ralenti te transit d’Hao qui marchait depuis plus d’une heure en se massant discrètement le ventre. Massako connaissait bien le jeune homme, elle avait remarqué que son attitude changeait systématiquement lorsqu’ils s’approchaient du front. Était-ce de la peur ? Au fonds, la jeune femme s’en moquait, elle trouvait mignon le fait que le jeune homme tente de lui cacher son état. C’est alors que son ventre émit un gargouillis gargantuesque. Il était temps pour le shinobi d’être délivré. Intiment sa partenaire de faire une pause, il partit à l’écart « rendre à la nature la monnaie de sa pièce » dit il.
Le jeune homme trouva un petit coin de paradis. Il y avait un petit arbre, pas plus de deux mètres, un petit renfoncement de terre avait retenu l’eau de pluie tombée plus tôt dans la matinée. Un rocher un peut plus large que les autres venaient lui offrir une couverture visuelle. Face à lui, se trouvait une faille qui comportait trois grosses cascades, celle-ci étaiement un grondement constant, parfait pour couvrir ses bruits. Dans un état de béatitude, le jeune homme baissa son pantalon et adopta la légendaire posture de la pause caca. C’est à ce moment, alors qu’il était en train de pousser, que l’homme tourna la tête. Pourquoi ? Il ne saurait pas dire une intuition certainement. Toujours est-il qu’il se retrouva nez à nez avec une jeune femme, il était trop tard pour lui de faire marche arrière. Le méfait était lancé impossible de l’arréter . Le jeune homme n’eut d’autre réaction que de pousser un cri horrifié. Bien sûr, celui-ci alerta Massako qui accourra sans plus tarder. Et c’est ainsi que le Shinobi se retrouva dans ce qui restera pour lui l’une des situations les plus malaisante de sa vie...