Hao avait gagné le pays des canyons. Ces derniers temps, il n’avait eut de cesse de se décevoir lors de ses affrontements. Il avait été souvent dominé et avait perdu la plupart de ses duels. La fin de la guerre l’avait ramolli, il avait perdu de son tranchant à tel point que continuer ainsi pouvait s’avérer être dangereux. Il devait se reprendre, retrouver cette flamme du combat qui brûlait autrefois en lui.
Il arriva donc au village de Taki en début de journée. Passant les portes du village le jeune homme avait entendu parlé des nombreux dojo qu’il contenait. Hao avait eu une idée, une de celle qui se finisse mal. Il avait prévu de faire le tour de ceux-ci et d’y affronter disciple ou maître. Il était prêt à se faire écraser, piétiner, briser ou ridiculiser, si c’était le prix à payer pour progresser alors il le payerait de sa sueur et de son sang. Déterminé, il se mit en quête d’un dojo, peut importe lequel il fallait bien commencer quelque part.
C’est avec tout son courage et toute sa détermination qu’il poussa les portes du dojo. Il n’avait pas pris le temps de regarder le nom de celui-ci et encore moins celui de se renseigner sur ses membres et son maître. Le shinobi avança dans l’enceinte du bâtiment, il espérait tomber sur quelqu’un. Le calme régnait en maître dans la battisse. Pendant un instant le kaido se dit que ce dojo devait être désert. Arrivant devant quelques marches de bois menant à une double porte coulissante Hao marqua une pause. Il se déchaussa avant de continuer sa route. Le bois était frais, certainement que la rosée du matin n’était pas étrangère à cela. Un petit frisson parcouru sa colonne, l’air était chargé de parfum de fleur. Décidément, ce dojo était bien mystérieux. Il posa ses mains sur les poignées de la double porte et l’ouvrit d’un geste ample et théâtral.
Sans un mot, il progressa sur le tatami, se plaçant au centre de celui-ci, il constata que la pièce était vide. Son effet était certes tombé à l’eau, mais son envie d’en découdre était resté intact. Il s'agenouilla donc au centre du tatami et fermant les yeux, il se mit à répéter en boucle un simple kata de base, le coup-de-poing. Quelqu’un ne tardera pas à arriver et le Oyaji’s Dojo tournament commencerait enfin.
Il arriva donc au village de Taki en début de journée. Passant les portes du village le jeune homme avait entendu parlé des nombreux dojo qu’il contenait. Hao avait eu une idée, une de celle qui se finisse mal. Il avait prévu de faire le tour de ceux-ci et d’y affronter disciple ou maître. Il était prêt à se faire écraser, piétiner, briser ou ridiculiser, si c’était le prix à payer pour progresser alors il le payerait de sa sueur et de son sang. Déterminé, il se mit en quête d’un dojo, peut importe lequel il fallait bien commencer quelque part.
C’est avec tout son courage et toute sa détermination qu’il poussa les portes du dojo. Il n’avait pas pris le temps de regarder le nom de celui-ci et encore moins celui de se renseigner sur ses membres et son maître. Le shinobi avança dans l’enceinte du bâtiment, il espérait tomber sur quelqu’un. Le calme régnait en maître dans la battisse. Pendant un instant le kaido se dit que ce dojo devait être désert. Arrivant devant quelques marches de bois menant à une double porte coulissante Hao marqua une pause. Il se déchaussa avant de continuer sa route. Le bois était frais, certainement que la rosée du matin n’était pas étrangère à cela. Un petit frisson parcouru sa colonne, l’air était chargé de parfum de fleur. Décidément, ce dojo était bien mystérieux. Il posa ses mains sur les poignées de la double porte et l’ouvrit d’un geste ample et théâtral.
Sans un mot, il progressa sur le tatami, se plaçant au centre de celui-ci, il constata que la pièce était vide. Son effet était certes tombé à l’eau, mais son envie d’en découdre était resté intact. Il s'agenouilla donc au centre du tatami et fermant les yeux, il se mit à répéter en boucle un simple kata de base, le coup-de-poing. Quelqu’un ne tardera pas à arriver et le Oyaji’s Dojo tournament commencerait enfin.